Après des siècles offerts à la baleine, à la morue ou au thon, Saint-Jean-de-Luz a changé. Mais le lien qui la relie à cette terre basque est resté tout aussi fort. Dans un contexte de mondialisation des échanges et d’intégration européenne, la ville se retrouve au cœur de ce grand ensemble urbain en cours de constitution sur le littoral, que l’on a pu baptiser « Eurocité Bayonne-Saint-Sébastien », mais qui se poursuit naturellement jusqu’à l’opulente capitale biscayenne qu’est devenue Bilbao.
Cette situation d’étape sur le parcours routier de la traversée nord-sud des Pyrénées, à équidistance des deux aéroports de Biarritz et de Fontarabie, la met en bonne place dans la future euro-région basque.
Pour l’heure, la cité balnéaire est prisée ; prise d’assaut par les personnalités people et les cadres supérieurs en villégiature, elle est l’une des villes les plus chères de l’hexagone. La flotte de pêche décline, tandis que le port de plaisance déborde. L’agriculture locale a également disparu, pour laisser place à l’entreprise et aux services. Le centre ancien n’est plus l’unique poumon, l’urbanisation s’étend.
Saint-Jean-de-Luz change à toute vitesse, décomplexée et ambitieuse, à l’instar du territoire qui l’entoure. Elle veut être une ville du XXIe siècle. Elle devra prendre garde à n’y pas perdre son âme. Rester elle-même tout en s’ouvrant au monde, en conservant sa traditionnelle capacité d’accueil, d’intégration et d’échange, tel est le pari que se fait Donibane.
Un pari que se fait le Pays Basque dans son ensemble.
Peio et Mirentxu vous accueillent toute l’année dans leur chambre d’hôtes dans un quartier résidentiel calme de Saint-Jean-de-Luz. Entièrement indépendants, vous disposez d’une chambre avec un lit double, d’une salle de bain et d’un salon où vous pouvez vous préparer à manger. Le salon donne sur la piscine où vous pouvez prendre un petit déjeuner sucré copieux et savoureux. La chambre d’hôte est situé à 5 minutes du centre ville et à 5 minute de la plage la plus proche.